eStox continue d’évoluer : voici les dernières mises à jour les plus importantes, vous pouvez trouver plus de détails ci-dessous.

– Augmentation de capital

– Nouvel accord de collaboration

Vous trouvez les notes de mise à jour en annexe (1.09 + 1.10).

1.      Augmentation de capital sans nouvelles actions

A la demande de nombreux membres, les possibilités d’augmenter le capital de l’eStox ont été élargies. Il est désormais également possible :

– d’augmenter le capital sans ajouter de nouvelles actions ;

– un apport en espèces sans nouvelles actions.

Vous pouvez maintenant trouver 2 nouvelles transactions dans la liste, voir les captures d’écran ci-dessous.

2.      Accord de collaboration

L’accord de collaboration entre eStox et les notaires/membres de l’ITAA a également été adapté : pour continuer à utiliser eStox, les utilisateurs doivent signer et télécharger le nouvel accord. Les nouveaux utilisateurs reçoivent le nouvel accord immédiatement dès le début.

Les utilisateurs actuels cliquent sur la barre rouge et peuvent ensuite télécharger l’accord sur l’écran ci-dessous en cliquant sur la langue de leur choix. Ensuite, veuillez télécharger à nouveau l’accord signé dans eStox et cliquer sur confirmer. Voir la capture d’écran ci-dessous.

Les experts-comptables et les conseillers fiscaux souhaitent se tenir informés des derniers développements dans leur domaine d’activité. La recherche d’informations sur Internet, le partage d’articles et de publications intéressants, ainsi que l’échange d’informations avec des collègues, des clients, des conseillers et les autorités publiques, sont essentiels à cet égard.

Ce que l’on oublie souvent, c’est que nombre de ces œuvres sont protégées par le droit d’auteur. Il s’agit par exemple d’ouvrages techniques, d’articles sur le droit des sociétés, le droit fiscal ou le droit social, d’articles de presse, de photographies et d’illustrations. Les œuvres protégées par le droit d’auteur peuvent certes être lues en ligne (moyennant paiement ou gratuitement), mais leur reproduction (sur papier ou numériquement sur smartphone, tablette, disque dur, etc.) et leur communication (par courrier électronique, Zoom/Teams, intranet, présentations Powerpoint, etc.) requièrent légalement une autorisation préalable du titulaire du droit d’auteur.

Si vous souhaitez reproduire et partager ces œuvres en interne ou en externe, dans le respect du droit d’auteur, il est fortement recommandé de souscrire à la licence combinée REPROBEL. Cette licence régit non seulement la rémunération REPROBEL que vous devez légalement payer pour les photocopies (AR du 5 mars 2017), mais offre également une couverture supplémentaire étendue pour les impressions et pour la reproduction et la communication numériques de telles œuvres.

Reprobel propose la licence combinée avec le mandat des auteurs et éditeurs belges. Grâce à 40 accords bilatéraux de représentation avec des partenaires étrangers, la licence REPROBEL couvre également un répertoire quasi mondial.

La licence combinée REPROBEL facilite également le travail à domicile et la numérisation. Elle procure à l’utilisateur professionnel une sécurité juridique et une facilité d’utilisation maximales. Vous trouverez de plus amples informations dans ce manuel et cet article juridique, ainsi que sur le site web de REPROBEL.

L’ITAA et REPROBEL ont conclu un accord sectoriel pour l’année de référence 2021. Les membres de l’ITAA qui souhaitent souscrire à la licence combinée incluant l’utilisation numérique de REPROBEL pour 2021 peuvent le faire à prix réduit, en introduisant un code promotionnel spécifique dans leur déclaration sur le portail. Cette déclaration est très simple et peut être remplie en moins de dix minutes. La plupart des grandes entreprises en Belgique (également dans le secteur de la comptabilité et de la consultance) ont déjà conclu un tel accord avec REPROBEL. Grâce à l’accord sectoriel entre l’ITAA et REPROBEL, les bureaux petits et moyens peuvent bénéficier de la même réduction. De plus amples informations sur la campagne REPROBEL 2021 suivront à l’automne.

Les membres de l’ITAA qui le souhaitent peuvent encore choisir de ne pas souscrire à la licence combinée de REPROBEL, et de ne déclarer sur le portail que leurs reproductions sur papier d’œuvres protégées. Les déclarations incomplètes ou incorrectes peuvent entraîner des contrôles et des sanctions. En souscrivant à la licence REPROBEL, vous évitez ce risque et vous assurez simultanément que vos utilisations numériques respectent les droits des auteurs et des éditeurs.

REPROBEL et ITAA sont particulièrement satisfaits de leur coopération, qui permet aux experts-comptables et aux conseillers fiscaux de partager au maximum leurs informations et leurs connaissances, tant sur papier que sous forme numérique, sans aucun souci. La rémunération REPROBEL fait en sorte que les auteurs et les éditeurs soient correctement rémunérés pour l’utilisation de leurs œuvres, afin qu’ils puissent continuer à informer, investir et innover.

L’Institut s’efforce de fournir à ses membres et stagiaires la formation nécessaire et une documentation professionnelle gratuite. Que l’on pense entre autres aux informations fournies par l’ITAA via l’ITAA-zine, l’ITAA-ACctua et les ITAA-flash ainsi que la publication annuelle des guides sur la TVA, l’impôt des personnes physiques, l’impôt des sociétés et l’ITAA lex. Sans oublier la plateforme BE Excellent où vous pouvez trouver une multitude de documentation professionnelle et de modèles.

Une connaissance de dossier incomplète

En revanche, il ne fait pas partie de nos missions légales de répondre aux nombreuses questions relatives à des dossiers individuels que l’ITAA reçoit. Vous ne serez pas surpris d’apprendre que vous seul, en tant que professionnel et personne de confiance de votre client, connaissez et pouvez évaluer correctement chaque détail du dossier individuel ainsi que son contexte exact.

Si l’ITAA devait répondre à des questions techniques spécifiques sans connaître tout le contexte du dossier, il existe un risque important que notre réponse soit incomplète et constitue un conseil erroné dans le dossier concret. Avec toutes les conséquences possibles concernant votre propre responsabilité, et le cas échéant, celle de l’institut vis-à-vis de votre client. Parfois, l’avis d’un confrère spécialisé dans la matière en question, ou d’un autre professionnel (par exemple, un juriste) sera approprié. Vous seul pouvez juger au mieux, dans l’intérêt de votre client, à qui vous pouvez faire appel si nécessaire.

A quelles questions l’ITAA repondra-t-il?

Il a donc été décidé en septembre 2019 que les services de l’ITAA répondraient aux questions concernant :

  • Les matières dans lesquelles l’ITAA est compétent, à savoir : les questions concernant le stage ou votre dossier de stage, les questions concernant la déontologie et la législation anti-blanchiment ou le cadre légal de la réglementation professionnelle, les questions sur la revue qualité, … ;
  • Les normes et les directives qui émanent de l’Institut ;
  • L’utilisation et le fonctionnement des « outils » que l’ITAA met à la disposition de ses membres et stagiaires comme, par exemple, Unified by invoicing, BeExcellent, E-Stox, Companyweb, Excel for Accountancy ;
  • L’interprétation d’articles publiés par l’ITAA ;
  • Des questions générales pouvant concerner tous les membres et stagiaires dans leur pratique professionnelle quotidienne. Pensez notamment à l’interprétation de la législation (récente). Après évaluation interne de l’importance générale de la question, celle-ci ne fera pas l’objet d’une réponse individuelle mais d’une FAQ générale qui sera publiée sur notre site internet.

Ce message a pour but de clarifier la portée exacte de l’intervention de l’ITAA auprès de nos confrères et consoeurs afin d’éviter toute fausse attente ou frustration de part et d’autre.

L’ITAA a reçu récemment de nombreuses questions de ses membres concernant la désignation des fonctions de compliance et la mise en oeuvre des obligations de vigilance en matière de prévention du blanchiment lorsqu’aucune prestation n’est effectuée directement pour des clients. Voici, à titre d’exemple, quelques questions qui résument les préoccupations légitimes des professionnels :

  • Je suis expert-comptable et réviseur d’entreprises. Je me suis déjà mis en ordre pour toutes les formalités concernant l’AMLCO et la PRHN pour mon cabinet agréé auprès de l’IRE. Cependant, j’ai également dû créer un numéro de TVA personne physique auprès de l’administration fiscale relativement à mon agrément auprès de l’ITAA, pour lequel je n’ai aucun chiffre d’affaires. Dois-je néanmoins désigner des responsables antiblanchiment si je n’ai pas de clients ? Et comment respecter les obligations y liées si je n’ai pas de clients à contrôler (ex : rapport annuel AMLCO) ?
  • Lorsque je consulte le portail ITAA, je comprends que je dois également compléter les fonctions d’AMLCO/PRHN pour mon entreprise en tant que personne physique. Il s’agit actuellement d’un numéro d’entreprise dormant et il n’y a donc pas de factures adressées aux clients. Je me suis actuellement inscrit en tant qu’AMLCO/PRHN, cela peut-il être maintenu ou n’est-ce pas nécessaire car il n’y a pas de facturation et qu’il n’y en aura normalement pas à l’avenir.
  • Je suis membre externe de l’ITAA mais je n’effectue aucune activité pour des clients. Dois-je désigner un AMLCO et un responsable au plus haut niveau, établir un Manuel de procédures internes et rédiger un rapport annuel d’activités ?

En vue de répondre aux demandes de ses membres, l’ITAA a rencontré, dans le courant du mois de mai 2021, les représentants de la CTIF afin de trouver une solution pragmatique et simplificatrice de la charge administrative en matière d’antiblanchiment dans les situations qui le justifient.

Toutes les parties en présence se sont mises d’accord sur la nécessité d’interpréter la législation antiblanchiment en fonction (i) de l’objectif poursuivi de prévention du blanchiment de capitaux et (ii) du principe de proportionnalité lié au risque contenu à l’article 8[1] (*) de la loi du 18 septembre 2017 relative à la prévention du blanchiment de capitaux et du financement du terrorisme et à la limitation de l’utilisation des espèces.

(*) Art. 8. § 1er. Les entités assujetties définissent et mettent en application des politiques, des procédures et des mesures de contrôle interne efficaces et proportionnées à leur nature et à leur taille :1° afin de se conformer aux dispositions de la présente loi, des arrêtés et règlements pris pour son exécution, et des mesures d’exécution de la Directive 2015/849, et d’atténuer et gérer efficacement les risques en la matière identifiés au niveau de l’Union européenne, de la Belgique et de l’entité assujettie elle-même; (…)

Position de l’ITAA et de la CTIF :

  1. Le critère central pour déterminer les obligations de vigilance en matière d’antiblanchiment est le suivant : le professionnel qui effectue des prestations pour un ou plusieurs cabinets a-t-il une clientèle propre ou non ?

Si la réponse à cette question est non, les professionnels pourront opter pour une modulation proportionnelle de leurs obligations en matière de prévention du blanchiment.

Cette option sera seulement possible pour les professionnels qui n’ont pas de clientèle propre et qui ont une collaboration structurelle avec un autre professionnel économique.

Afin que vous puissiez déterminer si vous pouvez bénéficier de la modulation proportionnelle des obligations antiblanchiment, il nous a semblé nécessaire de définir les notions suivantes :

  • ‘absence de clientèle propre’ : le professionnel n’effectue aucune prestation comptable ou fiscale directement pour un client, étant entendu qu’un client est toute personne physique ou morale qui n’est pas un professionnel économique.

(**) Ainsi, un expert-comptable spécialisé en matière de douane qui effectue uniquement des prestations ponctuelles à la demande d’un autre cabinet ne pourra pas être considéré comme un professionnel qui effectue des activités pour cet autre cabinet de façon régulière et constante. Il devra ainsi être considéré comme ne faisant pas partie des collaborateurs du cabinet qui a fait appel à ses services et devra appliquer ses propres mesures de vigilance, sans pouvoir s’en référer à celles édictées dans l’autre cabinet.

  1. Qu’entend-on par modulation proportionnelle des obligations antiblanchiment ?

Les professionnels qui satisfont aux conditions précitées pourront choisir de moduler proportionnellement leurs obligations en matière de lutte contre le blanchiment. Concrètement cette modulation proportionnelle se manifestera par un allègement dans leur chef de la charge administrative liée aux obligations préventives de lutte contre le blanchiment, soit l’absence d’obligation de :

  • réaliser une procédure de politique d’acceptation des clients (PAC)
  • réaliser sa propre analyse de risque
  • mettre un place son propre canal interne de ‘whistleblowing’[3] (***)
  • désigner un AMLCO (l’absence d’obligation de désigner un AMLCO englobe évidemment l’absence d’obligation de rédiger un rapport annuel d’activités)
  • désigner un responsable au plus haut niveau;

(***) Ce canal doit être mis en place au sein du cabinet afin de permettre aux membres du personnel de signaler à l’AMLCO et, le cas échéant au responsable au plus haut niveau, par une voie spécifique, indépendante et anonyme, les infractions aux obligations en matière d’antiblanchiment.

Toutes les obligations de vigilance pourront être centralisées au niveau du ou des cabinets opérationnels pour lesquels le professionnel économique effectue les prestations.

Il s’agit d’une faculté mais non d’une obligation dans le chef des professionnels[4].(****)

(****) S’il le souhaite, le professionnel pourra par exemple toujours décider de nommer des personnes exerçant les fonctions d’AMLCO et de responsable au plus haut niveau au sein du cabinet n’ayant pas de clientèle propre (étant entendu que ces personnes pourront être différentes de celles nommées au sein du cabinet opérationnel). La centralisation des mesures de vigilance en matière de LAB au niveau du cabinet opérationnel doit être comprise comme une possibilité de simplification administrative offerte aux membres de l’ITAA, et non pas comme une obligation contraignante.

  1. Que faire si vous vous trouvez dans la situation où vous estimez pouvoir bénéficier de la modulation proportionnelle de vos obligations antiblanchiment ?

L’ITAA se penche actuellement sur les modifications à apporter à la plateforme pour pouvoir mettre en place en pratique cet allègement des obligations en matière de prévention du blanchiment de capitaux.

Il vous faudra dès lors faire preuve d’un peu de patience avant de pouvoir opter pour la modulation proportionnelle. Dans l’intervalle, l’ITAA n’attend de vous aucune action spécifique. Dès que la plateforme sera à jour, nous vous demanderons de faire le nécessaire pour activer votre option le cas échéant.

  1. Conclusion

Après avoir exposé la position de l’ITAA, revenons-en à la résolution concrète des questions posées en préambule au présent texte :

  • Le professionnel qui était à la fois membre de l’ITAA et de l’IRE mais qui n’avait pas de clientèle propre en tant que membre ITAA pourra, s’il le souhaite, s’affilier au cabinet de l’IRE pour autant qu’il dispose d’une collaboration structurelle avec celui-ci. Ceci aura pour conséquence que le professionnel échappera aux obligations suivantes au sein du cabinet ITAA : (i) désigner un AMLCO et un responsable au plus haut niveau, (ii) réaliser une procédure PAC, (iii) réaliser sa propre analyse de risque, (iv) mettre en place son propre canal interne de ‘whistleblowing’. Toutes les obligations de vigilance seront centralisées, si le professionnel le souhaite, au niveau du cabinet opérationnel inscrit auprès de l’IRE.

Allons encore plus loin dans le raisonnement : imaginons que le professionnel, à la fois membre de l’ITAA et de l’IRE, détecte une opération atypique. En principe cette opération atypique sera en toute logique détectée au sein du cabinet opérationnel inscrit auprès de l’IRE puisque c’est celui-ci qui dispose d’une clientèle propre. L’AMLCO de la société opérationnelle se chargera de la rédaction du rapport en cas d’opération atypique et, le cas échéant, du dépôt de la déclaration à la CTIF.  Toutefois, le professionnel – qui n’a pas de clientèle propre – ne doit pas nécessairement passer par le canal prévu au sein de la société opérationnelle. Il pourra ainsi, s’il le souhaite, déposer lui-même la déclaration à la CTIF sans être obligé de passer par la société opérationnelle.

  • Le professionnel qui a pour l’instant un numéro d’entreprise ‘dormant’ pour son entreprise individuelle en personne physique car aucune facturation n’est faite vis-à-vis de clients, a le choix suivant :

–    soit conserver son inscription en tant qu’AMLCO et responsable au plus haut niveau de son entreprise individuelle en personne physique (avec toutes les obligations en matière d’antiblanchiment que ce choix comporte),

–    soit s’affilier à un cabinet avec lequel il partage une collaboration structurelle.

  • Le professionnel qui est membre externe de l’ITAA mais qui n’effectue aucune activité pour des clients n’aura pas l’obligation de désigner un AMLCO et un responsable au plus haut niveau, ni d’établir un Manuel de procédures internes, ni de rédiger un rapport annuel d’activités. Il pourra s’affilier auprès d’un cabinet opérationnel pour lequel il effectue de façon régulière et constante des activités.

Dans le courant du mois de mai 2021, quelques améliorations importantes étaient introduites dans eStox. Dès lors eStox permet :

  • d’éliminer les détenteurs de titres non liés à des transactions
  • d’effectuer la confirmation annuelle de l’UBO
  • de générer un extrait PDF renouvelé, d’aspect plus professionnel et moderne

Vous retrouvez plus d’information ci-dessous sur comment les changements entrent en application.

 

  1. Supprimer les détenteurs de titres

Tous les détenteurs de titres qui ne sont pas liés à une opération peuvent désormais être supprimés de la vue d’ensemble des détenteurs de titres :

       2. Confirmation annuelle dans l’UBO

A partir de cette version, eStox vérifiera dans le registre UBO si la confirmation annuelle pour une société particulière doit être faite ou non. eStox vérifiera chaque semaine (le lundi soir) pour quelles sociétés la confirmation annuelle doit être faite. Dès que le dernier enregistrement UBO remonte à 11 mois, eStox en informe le notaire ou le cabinet d’expertise comptable lié à la société :

– Si le paramètre UBO est sur ‘Traitement automatique’, eStox tentera automatiquement d’enregistrer la confirmation annuelle et enverra un e-mail au cabinet concerné et aux utilisateurs connus pour confirmer le résultat.

– Si le paramètre UBO est réglé sur ‘Approbation’, eStox enverra un e-mail de notification à l’entreprise et aux utilisateurs connus afin qu’ils puissent examiner la confirmation proposée, et soit la rejeter, soit la transmettre au registre UBO.

Pour les entreprises dont le paramètre UBO est réglé sur « inactif (-ve) », la proposition de confirmation annuelle apparaîtra dans l’écran UBO comme suit :

Une fois la confirmation annuelle effectuée, elle est téléchargée sur l’écran UBO :

       3. Extrait PDF renouvelé du registre des valeurs mobilières

L’extrait PDF dans eStox a été amélioré et les points suivants ont été traités :

  • Vous pouvez choisir si vous souhaitez télécharger une version PDF avec ou sans l’affichage des transactions annulées.

  • Génération plus rapide de l’extrait PDF et avec moins d’erreurs ;
  • Le logo eStox et la référence au site web eStox ont été ajoutés ;
  • Sur la page d’aperçu, le créateur, la date de création et la date de la dernière transaction ont été ajoutés ;
  • Les devises sont correctement arrondies à deux décimales ;
  • Les descriptions des transactions sont désormais traduites et améliorées ;
  • L’indication des fractions indivises, de l’usufruit et de la nue-propriété a été améliorée ;
  • Les boutons pour télécharger l’extrait sont clarifiés ;
  • Si un résumé est créé dans l’environnement de démonstration, un filigrane a été ajouté pour indiquer que le résumé est uniquement destiné à la démonstration.

Comme pour les anciens instituts, l’IEC et l’IPCF, le Conseil et l’assemblée générale de l’ITAA ont créé le statut de « membre honoraire de l’ITAA » (sous certaines conditions, un titre honorifique était prévu pour ceux qui avaient cessé leurs activités professionnelles, ndlr). Vous trouverez ci-dessous les conditions et la procédure pour demander l’honorariat.

Quels sont les avantages que reçoit un membre honoraire ?

Les membres qui décident, à un moment donné de leur carrière d’expert-comptable (certifié) ou de conseiller fiscal certifié de cesser leurs activités, mais qui souhaitent néanmoins garder un lien avec l’Institut, peuvent opter pour le statut de membre honoraire.

Avec ce statut, ils peuvent entre autres :

  • porter le titre de “Membre honoraire ITAA” ;
  • être présent à une assemblée générale de l’ITAA (sans droit de vote) ;
  • être invité aux événements sociaux de l’ITAA ;
  • recevoir des communications électroniques de l’ITAA ;
  • bénéficier de remises et d’offres spéciales de l’Institut, par exemple pour une série de manuels.

Quelles sont les conditions qui sont liées au statut de membre honoraire ?  

Tout qui souhaite devenir membre honoraire doit :

  • Avoir été membre de l’ITAA ou de l’un de ses prédécesseurs l’IEC ou l’IPCF pendant 10 ans ;
  • Avoir cessé toute activité propre à l’expert-comptable (certifié) et/ou au conseiller fiscal (certifié). En outre, ils n’exercent plus d’activités professionnelles qui pourraient être confondues avec celles d’un expert-comptable (certifié) et/ou d’un conseiller fiscal certifié ;
  • Ne pas avoir encouru de sanction disciplinaire au cours de sa carrière d’expert-comptable (certifié) et/ou de conseiller fiscal certifié, sauf si elle a été effacée ou si le membre a obtenu une réhabilitation.
  • La qualité d’expert-comptable (certifié) et/ou de conseiller fiscal certifié n’a pas été retirée suite à un rappel à l’ordre.

Qu’attend l’ITAA d’un membre honoraire ?

Les membres honoraires devront :

  • faire preuve de dignité sociale, morale et professionnelle ;
  • faire preuve de respect envers l’Institut et ses membres ;
  • payer une cotisation réduite. Pour 2021, celle-ci a été fixée par l’assemblée générale à 70,00 euro par an.

Je suis membre d’un des deux anciens Instituts. Qu’est-ce qui change pour moi ?

Celui qui est déjà membre honoraire de l’IEC ou de l’IPCF peut choisir :

  • soit il conserve son titre de « membre honoraire IEC » ou de « membre honoraire IPCF » ;
  • soit il peut demander le titre de « membre honoraire ITAA », étant entendu qu’il accepte les droits et devoirs d’un membre honoraire ITAA. Dans ce cas, il perd le titre de « membre honoraire IEC » ou de « membre honoraire IPCF ». Attention : les deux honorariats ne peuvent être pas être combinés.

Je veux devenir membre honoraire. Comment cela se passe-t-il ?

Pour l’instant, l’Institut ne dispose pas d’un formulaire numérisé pour demander le statut de membre honoraire. Si vous souhaitez devenir membre honoraire, veuillez envoyer votre demande motivée par courriel à publicregister@itaa.be. Le Conseil se prononcera ensuite sur votre demande.

Bonne nouvelle !

Comme vous le savez, les structures d’entreprise sont souvent complexes.

La législation oblige les agents déclarants à inscrire leurs bénéficiaires effectifs dans le registre UBO. Cela vise à accroître la transparence des structures de propriété et à accroître l’efficacité de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.

Vous consacrez généralement beaucoup d’heures à des travaux de recherche préparatoires à cet effet. Mais il y a une bonne nouvelle : via l’accès gratuit offert par l’ITAA à Companyweb (via le portail de l’ITAA), vous pouvez désormais trouver tous les bénéficiaires ultimes possibles d’une entreprise en un seul clic, dans la mesure où ces données sont disponibles dans la BCE, le Moniteur Belge ou la BNB. Il s’agit des dirigeants d’entreprise et des administrateurs, des actionnaires et des participations. Ces sources sont traitées, lues, répertoriées et améliorées au quotidien par les collaborateurs de Companyweb. Attention : vous trouverez souvent plus de bénéficiaires effectifs potentiels que ceux qui doivent figurer dans le registre UBO conformément à la législation.

Mais il y a plus …

La barre KYC désormais familière de Companyweb génère dorénavant un «rapport KYC» dans lequel tous les bénéficiaires ultimes possibles de la société analysée sont répertoriés. Par personne, il est ensuite visualisé comment elle est lié à l’entreprise à enquêter, le secteur de l’entreprise enquêtée ainsi que les secteurs dans lesquels les entreprises intermédiaires sont actives, à chaque fois avec leur baromètre de santé, le nombre de mandats actifs de la personne ainsi que le nombre de faillites.

Vous retrouvez cela ici :

En fonction de ces informations cruciales, vous pouvez alors décider par vous-même pour cet éventuel bénéficiaire ultime de lancer la recherche dans plus de 100 listes PPE (Personnes Politiquement Exposées) et Sanctions. Enfin, vous recevrez le résultat de votre enquête dans un rapport que vous pouvez imprimer et qui indique votre identité et la date de la demande.

Plus facile que jamais !

Pour chaque entreprise faisant l’objet d’une analyse et après votre évaluation du risque, vous pouvez décider pour quelle personne vous effectuerez le contrôle des listes (PPE et Sanctions). La présentation claire de données cruciales telles que le secteur dans lequel les entreprises ou les personnes sont actives, la région dans laquelle elles sont implantées, les faillites historiques ou imminentes, la manière dont les personnes sont liées, … rendra sans aucun doute votre recherche beaucoup plus facile.

C’est pourquoi, grâce à l’ITAA, vous obtenez un accès illimité aux rapports KYC et également 100 contrôles par an sur les plus de 100 listes PPE et Sanctions.

Lors de l’enregistrement d’un nouveau registre dans eStox, l’utilisateur devait passer par deux flux: le premier pour créer la société et le second pour inscrire les actions au registre. Ces flux ont été intégrés dans un assistant dont les étapes ont été réduites à trois :

1) Saisie des coordonnées de la société (une recherche BCE peut être utilisée pour charger les données existantes)

2) Saisie du nombre d’actions, le capital et les classes d’actions

3) Préciser les actionnaires et leurs actions

De plus, la disposition des différentes étapes a été optimisée de telle sorte qu’il faut moins de clics et moins de défilement.

Pour plus d’info, veuillez consulter le pdf.

De plus en plus de membres découvrent le registre électronique d’actions eStox. Vous trouverez ci-dessous quelques réponses aux questions fréquentes sur la façon d’y accéder.

Qui a accès à eStox ?

Tous les membres externes et internes de l’ITAA ont automatiquement accès à eStox via le portail ITAA : https://portal.itaa.be. Ils peuvent se connecter soit en leur nom propre, soit au nom d’un bureau membre de l’institut. L’interlocuteur principal d’un bureau indique via le portail qui peut se connecter au nom du bureau (cf. ci-dessous).

Les stagiaires externes peuvent se connecter au nom de leur numéro de TVA de personne physique ou par le biais d’un bureau membre de l’institut.

Les stagiaires internes et les employés du bureau ne peuvent se connecter qu’au nom d’un bureau membre de l’institut.

Les employés peuvent-ils avoir un accès séparé à eStox ?

À l’origine, les employés étaient ajoutés directement dans eStox par dossier. Aujourd’hui, les employés sont ajoutés via le portail ITAA afin qu’ils puissent accéder à eStox et aux formations au nom d’un bureau membre de l’institut.

L’interlocuteur principal du bureau peut s’en charger via le portail https://portal.itaa.be sous « bureaux » > « accès outils ». Au bas de la page se trouve un bouton jaune « Accorder l’accès aux outils ». Les personnes qui figurent déjà dans notre base de données peuvent être ajoutées dans le champ en tapant d’abord leur nom de famille. Pour les nouveaux employés, l’interlocuteur principal peut remplir un formulaire en ligne via le « lien » dans la fenêtre pop-up (cf. image).

Dès que quelqu’un figure dans notre base de données, vous n’avez plus besoin de notre intervention.

Puis-je me connecter via itsme en tant que membre ou employé ?

L’accès via itsme est réservé aux clients et aux tiers. Les membres et les employés des bureaux membres de l’institut doivent se connecter via le portail ITAA : https://portal.itaa.be.

En effet, lorsque vous vous connectez via itsme, vous le faites uniquement avec votre adresse e-mail. Une personne de votre bureau peut vous ajouter à un dossier, mais sans indiquer que vous faites partie du bureau. Par conséquent, toutes les fonctionnalités ne fonctionneront pas correctement. En outre, nous n’avons aucune visibilité en interne sur les personnes qui ont été ajoutées directement à eStox, nous ne pouvons donc pas vous aider davantage.

Pourquoi dois-je me connecter via le portail ITAA ?

Lorsque vous vous connectez via le portail, vous êtes également connecté sous votre propre nom, mais vous sélectionnez en outre le bureau pour lequel vous vous connectez dans le menu déroulant. Ce n’est qu’alors que vous verrez les mandats UBO corrects dans eStox et dans les dossiers et concepts de votre bureau.

C’est également le seul moyen de s’assurer que la facturation est effectuée correctement et au nom du bureau. Vous trouverez ici de plus amples informations à ce sujet : http://blog.be.accountants/fr/article/guide-de-facturation-pour-estox/10109.

Quid si je me suis connecté via itsme ?

Si vous vous connectez via itsme avec la même adresse e-mail que celle de l’institut, la prochaine fois que vous essayerez de vous connecter à eStox via le portail, vous recevrez un message vous informant que vous ne disposez pas des droits nécessaires.

Pour résoudre ce problème, vous pouvez contacter le service d’assistance : servicedesk@itaa.be en précisant les informations suivantes :

  • Adresse e-mail utilisée pour vous connecter
  • Heure et jour de la tentative de connexion infructueuse
  • Capture d’écran du message d’erreur

Votre accès sera alors réassocié à votre profil ITAA par le service technique d’eStox.

Une bonne nouvelle et un nouvel argument

eStox est le registre électronique des actions de société proposé conjointement par les notaires, les experts-comptables et conseillers fiscaux. Grâce à ce registre électronique et sécurisé, nous répondons tous aux exigences de l’environnement commercial actuel.

Grâce à eStox, les clients se sentent soutenus dans leurs obligations UBO. Ils sont généralement prêts à payer pour ce service supplémentaire et la sécurité juridique offerte par leur expert-comptable ou conseiller fiscal.

 

Votre nouvel argument

L’AG Trésorerie du SPF Finances a annoncé des nouveautés concernant le registre UBO dans un communiqué de presse. Dans le texte, s’est faufilée une bonne nouvelle pour les cabinets qui recommandent et utilisent eStox. Les registres électroniques, tels qu’eStox, seront considérés comme des sources authentiques.

Concrètement : les sociétés qui disposent d’un registre eStox et pour lesquelles vous avez effectué l’enregistrement dans le registre UBO à partir d’eStox, ne devront pas télécharger de documents probants ou d’autres documents. eStox suffit.

eStox assure la tranquillité d’esprit et allège les charges administratives de plus de 19 000 entreprises.